Rémy Carriat



Le véritable cuir « à la française »



Le véritable cuir « à la française »

L’histoire de la tannerie Carriat commence en 1927 à Espelette, dans le Pays basque. Le jeune Rémy Carriat commence à fournir les fabricants de chaussures du Sud-Ouest et s’impose rapidement comme une référence sur le marché français. « Il a rapidement compris que la qualité et la proximité étaient la clé » nous explique Marie Hiriart Carriat, héritière et directrice de l’entreprise familiale.

 

L’histoire de la tannerie Carriat commence en 1927 à Espelette, dans le Pays basque. Le jeune Rémy Carriat commence à fournir les fabricants de chaussures du Sud-Ouest et s’impose rapidement comme une référence sur le marché français. « Il a rapidement compris que la qualité et la proximité étaient la clé » nous explique Marie Hiriart Carriat, héritière et directrice de l’entreprise familiale.

 

Rapidement la famille propose son expertise dans le cuir à de nouveaux secteurs comme l’ameublement, puis la maroquinerie « Nous avons toujours su prendre les virages au bon moment, pour que notre entreprise reste lovée au milieu de sa vallée, au plus proche de ses fournisseurs et de ses clients. » Un siècle de perfectionnement plus tard, le savoir-faire de l’entreprise est d’une richesse incomparable.

Rapidement la famille propose son expertise dans le cuir à de nouveaux secteurs comme l’ameublement, puis la maroquinerie « Nous avons toujours su prendre les virages au bon moment, pour que notre entreprise reste lovée au milieu de sa vallée, au plus proche de ses fournisseurs et de ses clients. » Un siècle de perfectionnement plus tard, le savoir-faire de l’entreprise est d’une richesse incomparable.

L’artiste est née à Arles, a grandi en Provence, avant de partir pour Paris, puis Londres, avant de revenir en France pour ouvrir sa propre imprimerie. Elle s’intéresse alors à l’illustration d’intérieur, peint et dessine du mobilier qu’elle imagine prendre vie. « J’ai rapidement eu envie de continuer avec la conception de véritables objets » et la voici qui commence à mêler ses talents pour la broderie et le dessin. De retour dans son Sud natal, Sarah s’active au fond de son atelier.


Bienvenue à la maison

Paris, juin 2020. Il se trame quelque chose derrière la façade bleu roi du 2 bis rue Caumartin. Et pour cause. Notre nouveau repère de maître-maroquinier vient de voir le jour. Porte d’entrée passée, les arômes de cuir se mêlent au parfum du bois de chêne. Tous les sens sont sollicités. La lumière chaleureuse invite même à se poser pour bouquiner. Plus qu’une nouvelle boutique, ce lieu est un nouveau concept.





En collaboration avec le studio Be-Pole et l’architecte Antoine Ricardou, nous avons imaginé cette nouvelle boutique comme une porte d’entrée sur notre univers et notre savoir-faire centenaire. Tables d’atelier, mobilier en chêne, assises couvertes de velours, et sol en Terrazzo, le tout ponctué de rappels de bleu. Bienvenue dans l’antre des belles matières et de la maroquinerie bien finie. Notez les meubles inspirés par les bouquinistes de Seine. Un clin d’œil à Paris, cette ville qui nous est chère pour y avoir remporté le prix d’argent à l’exposition universelle de 1900. Mais ce n’est pas tout.




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Le cuir de notre Madeleine selon Rémy Carriat

Nombreux sont les métiers et savoir-faire mobilisés pour la confection de nos pièces en cuir, notamment pour une ligne d’exception comme Madeleine. Son cuir de taurillon provient d’une tannerie familiale centenaire proposant parmi les plus beaux cuirs du monde. Direction Espelette, dans le Sud-Ouest, pour en savoir plus sur la tannerie Rémy Carriat et son amour pour les (très) belles matières.




Peux-tu nous en dire plus sur tes Œuvres-Sensibles ?


Le cuir de notre Madeleine selon Rémy Carriat

Nombreux sont les métiers et savoir-faire mobilisés pour la confection de nos pièces en cuir, notamment pour une ligne d’exception comme Madeleine. Son cuir de taurillon provient d’une tannerie familiale centenaire proposant parmi les plus beaux cuirs du monde. Direction Espelette, dans le Sud-Ouest, pour en savoir plus sur la tannerie Rémy Carriat et son amour pour les (très) belles matières.



Peux-tu nous en dire plus sur tes Œuvres-Sensibles ?

Peux-tu nous en dire plus sur tes Œuvres-Sensibles ?

Peux-tu nous en dire plus sur tes Œuvres-Sensibles ?

L’idée est de créer des objets artistiques inspirés de la vie de tous les jours, différents de ce qu’on peut trouver habituellement, ou utilisés autrement. Je cherche à créer des objets qui évoquent ma sensibilité, ma vision des choses et que l’on a envie de posséder pour l’histoire qu’ils ont à raconter. Pour cela j’ai cherché différentes techniques me permettant de transformer mes dessins en broderie.


Le cuir de notre Madeleine

Du cuir de taurillon. Une matière exceptionnelle douce et épaisse sur laquelle repose l’histoire de cette tannerie familiale. « Il s’agit d’un cuir très beau et résistant au quotidien, utilisé principalement dans l’ameublement. Il a rapidement compris que c’était un cuir pas comme les autres, qui une fois assoupli, était parfait pour la petite et la grande maroquinerie. »

Et toi, quel tissu utilises-tu pour tes nappes ?

J’aime chiner des draps anciens. Je les trouve plus beaux et plus résistants. Même si certains ont plus de 100 ans, ils ont fait leurs preuves et peuvent encore servir un bon moment. Cela me prend du temps de les trouver, inspecter, sélectionner, mais c’est une matière que je trouve vraiment noble. Leur passé ne fait qu’apporter de la valeur et de l’authenticité à mes œuvres. Text

Le cuir de notre Madeleine

Du cuir de taurillon. Une matière exceptionnelle douce et épaisse sur laquelle repose l’histoire de cette tannerie familiale. « Il s’agit d’un cuir très beau et résistant au quotidien, utilisé principalement dans l’ameublement. Il a rapidement compris que c’était un cuir pas comme les autres, qui une fois assoupli, était parfait pour la petite et la grande maroquinerie. »

Et toi, quel tissu utilises-tu pour tes nappes ?

J’aime chiner des draps anciens. Je les trouve plus beaux et plus résistants. Même si certains ont plus de 100 ans, ils ont fait leurs preuves et peuvent encore servir un bon moment. Cela me prend du temps de les trouver, inspecter, sélectionner, mais c’est une matière que je trouve vraiment noble. Leur passé ne fait qu’apporter de la valeur et de l’authenticité à mes œuvres. Text

Le cuir de taurillon est aujourd’hui la signature de la maison. Il est reconnu à l’échelle mondiale comme une matière d’exception, à la hauteur du savoir-faire mobilisé lors de son élaboration. « Les plus beaux sacs du monde, confectionnés dans les matières les plus nobles, ne vivront pas aussi longtemps qu’un sac en cuir de taurillon. »

L’aspect unique et la main de ce cuir viennent de son épaisseur généreuse et tout en souplesse. Il est important de l’avoir entre les mains pour mieux comprendre ses qualités naturelles. « C’est le genre de cuir que l’on a envie d’acheter les yeux fermés, simplement au toucher. »

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Grand sac hobo Madeleine en cuir grainé  - Le Tanneur

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Sac bandoulière moyen modèle Madeleine en cuir grainé  - Le Tanneur

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Petit sac bandoulière Madeleine en cuir grainé  - Le Tanneur
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Alors, comment procèdes-tu ?

Pour l’instant, je brode chaque nappe à la main, y compris celles de cette collaboration. Mais en me renseignant sur les techniques, j’ai découvert une ancienne machine qui s’appelle la Cornély, qui permet de broder en suivant à la main le tracé d’un dessin. Elle est parfois utilisée dans les ateliers de haute couture pour créer des objets précieux et je compte bien l’utiliser dans mes futures créations.


Et toi, quel tissu utilises-tu pour tes nappes ?

J’aime chiner des draps anciens. Je les trouve plus beaux et plus résistants. Même si certains ont plus de 100 ans, ils ont fait leurs preuves et peuvent encore servir un bon moment. Cela me prend du temps de les trouver, inspecter, sélectionner, mais c’est une matière que je trouve vraiment noble. Leur passé ne fait qu’apporter de la valeur et de l’authenticité à mes œuvres. Text


Et toi, quel tissu utilises-tu pour tes nappes ?

J’aime chiner des draps anciens. Je les trouve plus beaux et plus résistants. Même si certains ont plus de 100 ans, ils ont fait leurs preuves et peuvent encore servir un bon moment. Cela me prend du temps de les trouver, inspecter, sélectionner, mais c’est une matière que je trouve vraiment noble. Leur passé ne fait qu’apporter de la valeur et de l’authenticité à mes œuvres. Text



Pourquoi faut-il dire oui à une de tes nappes ?


La nappe est une manière d’habiller sa table, de lui faire raconter une histoire. J’ai envie de détourner l’aspect utile de la nappe pour lui donner un aspect plus décoratif, comme si elle était un nouvel élément de décoration d’intérieur. La nappe est un peu sous-estimée à ce niveau-là. Il faut quand même se dire que, sur ce grand morceau de tissu, on peut imaginer ce que l’on veut. Cette approche revalorise la nappe, lui offre une nouvelle dimension. Et on peut toujours l’utiliser comme un accessoire fonctionnel si on le souhaite.


Pourquoi faut-il dire oui à une de tes nappes ?



Le cuir de taurillon est aujourd’hui la signature de la maison. Il est reconnu à l’échelle mondiale comme une matière d’exception, à la hauteur du savoir-faire mobilisé lors de son élaboration. « Les plus beaux sacs du monde, confectionnés dans les matières les plus nobles, ne vivront pas aussi longtemps qu’un sac en cuir de taurillon. »

L’aspect unique et la main de ce cuir viennent de son épaisseur généreuse et tout en souplesse. Il est important de l’avoir entre les mains pour mieux comprendre ses qualités naturelles. « C’est le genre de cuir que l’on a envie d’acheter les yeux fermés, simplement au toucher. »

 
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